martedì 30 novembre 2010

Yannick Noah

Yannick Noah
Yannick Noah rolland garros tennis


Yannick Noah est un joueur de tennis et chanteur, français  d'origine camerounaise par son père et ardennais  par sa mère, né le 18 mai 1960 à Sedan dans les Ardennes en France.

Il remporte notamment les Internationaux de France de Roland-Garros en 1983. Au terme de sa carrière de joueur, il devient capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis qu'il mène à la victoire en 1991 et 1996. Depuis 2002, il mène une carrière de chanteur populaire, amorcée dès 1991 avec la chanson Saga Africa.


 Biographie [modifier]

Yannick Noah est né à Sedan, fils de Zacharie Noah, joueur de football professionnel, et de Marie-Claire Échalier-Perrier, enseignante. Il a trois soeurs. Son grand-père maternel, Marcel Perrier, professeur de dessin artistique au lycée Turenne, a publié une demi-douzaine de recueils de poèmes à Sedan et son grand-père paternel, Simon Noah, fut tirailleurs sénégalais lors de la seconde guerre mondiale à son retour il envoya son fils Zacharie étudier en France.

Lorsqu'il a trois ans, la famille Noah s’installe à Yaoundé, capitale du Cameroun dont son père est originaire et où il découvre le tennis qui devient sa passion, dans un pays qui ne possède à l'époque que huit court. En 1971, il se fait remarquer par Arthur Ashe, premier joueur noir à remporter un tournoi du Grand Chelem, qui lui offre une raquette. À onze ans il part en pension pour Nice afin de jouer au tennis.

Yannick Noah est aujourd'hui père de 5 enfants. D'un premier mariage en 1984 avec Cécilia Rhode, ancien mannequin de l'Agence Elite, et Miss Suède 78, naissent Joakim Noah en 1985 (aujourd'hui joueur de basket aux États-Unis, dans l'équipe des Chicago Bulls) et Yéléna en 1986. Après un divorce, il se remarie en 1995 avec la mannequin Heather Stewart-Whyte, dont il aura deux filles : Elyjah née en 1996 et Jénayé née en 1997. Ils divorcent en 2001. Depuis 2003, Yannick Noah partage sa vie avec Isabelle Camus (fille du producteur Jean-Claude Camus, elle-même productrice, entre autres, d'Un gars, une fille), qui donne naissance à Joalukas en 2004.

Yannick Noah est membre du International Tennis Hall of Fame depuis le 7 janvier 2005. Le 10 novembre de la même année, Henri Sérandour, président du Comité National Olympique et Sportif Français lui a remis le Trophée Micheline Ostermeyer[1]. De retour en France, il vit avec sa famille à Feucherolles. Fin mai 2008, il annonce qu'il part vivre à New York.

 
Karol Kucera

Un nouveau Code pour assainir le sport

par Marc Verney
Article publié le 13/11/2007 Dernière mise à jour le 13/11/2007 à 16:39 TU
Athlétisme, cyclisme, haltérophilie... la liste des sports touchés par le dopage est longue.(Photos : AFP et Reuters)
Athlétisme, cyclisme, haltérophilie... la liste des sports touchés par le dopage est longue.
(Photos : AFP et Reuters)
La conférence mondiale sur le dopage dans le sport se tient à Madrid du 15 au 17 novembre. Au menu des débats qui réunissent près de 1 500 personnes dans la capitale espagnole : l’adoption d’un nouveau Code mondial antidopage, l’identification puis la mise en place de stratégies renforçant encore la lutte contre la triche et enfin l’élection du président de l’Agence mondiale antidopage (AMA). Flexibilité des sanctions et individualisations des peines touchant les sportifs tricheurs forment le cœur du nouveau Code.
Il a fallu plus d’un an et demi pour retoucher le Code mondial antidopage adopté dans une première version par les gouvernements et les instances sportives dès 2003. Un texte qui se situe pourtant au centre du dispositif anti triche de l’Agence mondial antidopage (AMA). Dix-huit mois qui ont mis en avant la nécessité de mettre en place des sanctions flexibles et des sanctions personnalisées. Car, si dans les fondements de ce Code, il est expressément dit que « Le dopage est contraire à l’essence même de l’esprit sportif », c’est une évidence pas forcément simple à mettre en œuvre, tant la multiplicité des partenaires rend les débats ardus.

Le document 2007, qui compte près de 90 pages dans sa version française, est l’aboutissement d’un vaste processus de consultations ayant débuté en avril 2006. Les partenaires (fédérations, sportifs, gouvernements, comités olympiques…) ont proposé les divers changements à y apporter, leur validation étant du ressort du conseil de fondation de l’AMA. C’est à ce niveau que les discussions ont été les plus difficiles : comment concilier en effet les attentes de fédérations sportives déjà plus ou moins engagées dans la lutte contre le dopage… Ainsi, la Fédération internationale du football, qui souhaite avoir une gestion au cas par cas du problème s’oppose à son homologue de l’athlétisme, qui, elle, annonce son intention de condamner tout sportif contrôlé positif dès la première fois à quatre années de suspension…

Fermeté, équité ?
On note, dans le document appelé à entrer en vigueur le 1er janvier 2009, une clause qui demande une aggravation des sanctions dans les cas de dopage organisé ou l’utilisation de substances dopantes à de multiples reprises. Mentir sur un lieu d’entraînement ou obstruer une enquête est également considéré comme un facteur aggravant pouvant mener à une suspension du sportif pour une durée de quatre ans. Par ailleurs, les contrôles manqués à répétition constituent eux aussi une violation des règles antidopage.

Mais ces sanctions pourront être appliquées avec plus de discernement qu’auparavant : l’introduction des notions de flexibilité des sanctions et d’individualisation des peines dans le Code répond notamment aux attentes des gouvernements souhaitant adapter le Code antidopage à leurs principes légaux. En France, par exemple, la personnalisation des sanctions est la règle alors que l’automaticité est rejetée. Ainsi, en se conformant aux usages de la justice civile, l’AMA espère que le nouveau Code sera moins sujet à procès, une pratique devenue automatique de la part des fautifs, qui, au fil des audiences, remettaient souvent en cause l’ensemble du combat antidopage.
photo scooter mer rodéo sport humour insolite

Le Sport, known at the time as Eurosport, charmed my pants off (figuratively speaking, you dirty little buggers!) playing their gorgeous hit songs “Your Brother Is My only Hope” and “Tell no one about Tonight” live in a pop club in Turku, Finland. The generous approach of providing most of their music for free on their website then helped me realise that their other songs where mostly not up to scratch. Following the same pattern as the euro disco bands to whom Le Sport pay homage with their generous and loving use of synth piano, they have now made an album with their two hits and an abundance of filler material.
Flirting with euro sleaze in kitsch cover design and exploiting the cliches of gay pop duos does not make up for the absence of good songs. Titles like “Show me your Penis” and “If Neil Tennant was my Lover” may raise some mirth, but the songs themselves are boring affairs. As is this disappointing album, failing dismally to live up to the great promise glimmering in the afore mentioned two songs. Back to the drawing-board, boys.